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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 08:29

Transmis par Michel Fries UNP Thionville 2°BCCP.Merci à lui.

 

 brevet-IA-001.jpg

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:24

Cette lettre reçue ce matin date un peu,mais la mémoire étant ce qu'elle est devenue,une information chasse l'autre,un petit rappel ne peut nuire à personne.

 

 

         Inversion des valeurs - lettre d'une mère à une autre mère HISTOIRE VRAIE.
 


                                                                               Chère madame,

J'ai vu votre protestation énergique devant les caméras de télévision contre le transfert  de votre fils de la prison de Arlon à la prison de Leuven.
 Je vous ai entendue vous plaindre de la distance qui vous sépare désormais de votre fils  et des difficultés que vous avez à vous déplacer pour lui rendre visite.

 J'ai aussi vu toute la couverture médiatique faite par les journalistes et reporters sur les autres mères dans le même cas que vous et qui sont défendues par divers organismes pour la défense des droits de l'homme, etc...
 
 Moi aussi je suis une mère et je peux comprendre vos protestations et votre mécontentement.
 
 Je veux me joindre à votre combat car, comme vous le verrez, il y a aussi une grande distance qui me sépare de mon fils. Je travaille mais gagne peu et j'ai les même difficultés financières pour le visiter. Avec beaucoup de sacrifices, je ne peux lui rendre visite que le dimanche car je travaille tous les jours de la semaine et aussi le samedi et j'ai également d'autres obligations familiales avec mes autres enfants.
 
 Au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis la mère du jeune que votre fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille.


 J'irai lui rendre visite dimanche prochain.
 
 Pendant que vous prendrez votre fils dans vos bras et que vous l'embrasserez, moi je déposerai quelques fleurs sur sa modeste tombe dans le cimetière de la ville.
 Ah , j'oubliais. vous pouvez être rassurée, l'état se charge de me retirer une partie de mon maigre salaire pour payer le nouveau matelas de votre fils puisqu'il a brûlé les 2 précédents dans la prison où il purge sa peine pour le crime odieux qu'il a commis.
 
 Pour terminer, toujours comme mère, je demande à tout le monde de faire circuler mon courrier,  si intime qu' il soit. Nous parviendrons ainsi peut-être à arrêter cette inversion des valeurs humaines.
                            Les droits de l'homme ne devraient s' appliquer qu'aux hommes droits !!!
 
Edith Besançon
 10 Montée Beaumur
 38200 Vienne
 04.74.85.07.64
 06.22.59.33.40

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 07:45

Histoire qui court sur le net,reçue ce matin-origine inconnue.


Tout se perd...................même au lit......


 "T'avais l' habitude de me tenir la main quand nous étions jeunes."

 Le mari lui prend la main, puis tourne le dos et s'endort.

 À peine assoupi, il entend sa femme : "T'avais aussi l' habitude de m'embrasser."
 Un peu irrité, il lui donne un petit bisou sur la joue et se retourne pour dormir.
 Quelques minutes plus tard, il entend : "Même que, des fois, tu me mordillais le cou."
 Exaspéré, le mari repousse les couvertures et se lève brusquement énervé...
 Surprise, la femme lui demande : "Mais où est-ce que tu vas ?"


 Le mari répond : "Chercher mes dents !!!"

 

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 14:49

                                             En parler un peu c'est ne pas oublier.

 

En mai 1953,le général Navarre remplace le général Salan au poste de commandant en chef des forces françaises en Indochine.
En août de la même année il fait évacuer le poste de Na San (voir carte)  situé sur l'axe routier du ravitaillement vietminh en direction du Laos.

 

carte-Indo-1949-001---Copie.jpg

Evacuation de Na San.


en juillet 1953 l'évacuation se fait sans qu'intervienne le Vietminh.Le déplacement des hommes et du matériel transportable est réalisé par de nombreuses rotations de dakotas venant de Hanoï.

Une conséquence de l'abandon de ces camps retranchés,Na San était une épine dans le pied du Vietminh,il se trouvait sur l'axe de ravitaillement ennemi en provenance de la Chine,le Vietminh peut alors utiliser les nombreux camions fournis par l'Union Soviétique.Le camps de Lai Chau,120km au nord ouest avait aussi son utilité.Ces deux camps,avec leurs pistes d'attérissage permettaient des interventions rapides de troupes sur le terrain.L'emplacement de Na San était compatible avec les rayons d'action des avions d'attaque en provenance de Hanoï et du porte-avions Arromanche comme en 1952;Ces bases assuraient le support nécessaire aux différents Maquis'GCMA-CMI) qui se battaient contre les communistes dans toute la région.Ces abandons de camps fortifiés ont été la cause de désertions de supplétifs qui voulaient rester prés de leurs familles.

                        L'opération Castor ou la bataille du Nord-Ouest.

Tonkin-zone-DBP.jpg


Initialement,le général Navarre avait prévu l'aménagement d'une base aéroterrestre à Dien Bien Phu afin d' établir une liaison avec les forces françaises au Nord du Laos et d'aider à l'évacuation du camp retranché de Laï Chau.

Alors que l'avancée vietminh menace l'ensemble du Pays thaï et du Laos,le général Navarre prend la décision de couper la route de Luang Prabang en s'emparant et installant des unités dans la cuvette de Dien Bien Phu.La date de l'opération est fixée au 20 novembre.Les bataillons sont retirés de leurs opérations en cours et les avions en provenance de tout le territoire sont regroupés à Hanoï en un groupement de transport.


Le 20 novembre 1953 débute,aux ordres du général Gilles,commandant des TAPI,l'opération "Castor",qui mobilise six bataillons parachutistes.En trois jours 5100 hommes et 240 tonnes de matériel sont largués.La cuvette est occupée par un bataillon vietminh,le Bataillon 910 ,chargé de l'instruction des troupes de la région,un PC du Régiment 148,deux autres bataillons à deux jours de marche peuvent intervenir ainsi que d'autres élément divisionnaires en approche.
Le 20 novembre sont largués  les 2650 hommes du GAP1 composé des 2/1°RCP(commandant Brechignac),1°BPC(chef de Bataillon Souquet),6°BPC(chef de Bataillon Bigeard).
Le même jour sont aussi largués des éléments de la 17eCompagnie de Génie Parachutiste,  les  artilleurs du Groupe de marche du 35°RALP(chef d'escadron Millot) et une antenne chirurgicale.


Le 21 novembre sont largués les 1425 hommes du GAP2 composé des 1°BEP et 8°BPC,ainsi que les premiers largages "lourds" l'état-major du général Gilles et le PC du GAP2 du colonel Langlais qui se casse une cheville et est évacué à Hanoï le lendemain.
Le 22 novembre est largué le 5°BPVN du capitaine Botella et le premier dakota se pose le 25,ensuite arrivent les unités non para.

Le contrôle de la cuvette a été rapidement acquis,après plusieurs heures de combats contre des compagnies vietminh renforcées de deux Cies équipées de mortiers et de canons sans recul,le 6°BPC pour sa part a été largué sur son objectif"Natacha",en plein milieu des réguliers vietminh à l'instruction de tir.Les paras ont perdu 11 tués,dont le capitaine Raymond,médecin du  6, avant son arrivée au sol.Les paras ont alors retroussé leurs manches,l'ancienne piste d'atterrissage est rétablie en un temps record,remise en état avec des plaques PSP.Dès la première semaines les premiers avions se posent au sol,amenant des visiteurs interessés par ce genre d'événement.


L'opération Castor terminée,le général Gilles rentre en France,il reste sur le terrain les six bataillons parachutistes qui y ont participé,quatre bataillons d'infanterie et cinq batteries de 105.De son côté l'état-major vietminh accélère le mouvement de ses troupes,autour de la cuvette en décembre se regroupe la division 316,la division 304,la 308 qui effectue en un mois et de nuit une marche de 600 km pour arriver à destination,la division lourde 351 avec ses Régiments d'artillerie et obusiers américains de 105 tirés par des camions soviétiques enfin la 312 stationnée en pays Thaï qui arrive aussi  à destination fin décembre.

Le 3 décembre,le général Navarre a décidé que la bataille aurait lieu au Nord-Ouest,à Dien Bien Phu,le lieu est situé à 300km de Hanoï,à vol d'oiseau,au milieu d'une jungle entièrement sous le controle du vietminh,accessible seulement par un pont aérien ayant une maitrise de l'air.Une partie des bataillons para est relevée et les travaux d'installation du camp retranchés continuent, entrecoupés d'opérations meurtrières dans une  jungle montagneuse,où l'ennemi se renforce chaque jour.


Début de l'opération" Pollux" ou évacuation de la garnison du camp retranché de Laï Chau.
Evacuation de Lai Chau.(fin novembre à mi-décembre).
réalisée dans l'urgence,les troupes régulières et les civils sont transportées vers Dien Bien Phu par des rotations aériennes,(opération Léda)et les unités supplétives doivent rejoindre le même lieu par la piste Pavie dans une zone de montagnes et vallées encaissées occupée par les viets de la division 316,ces unités sont détruites les unes après les autres,seul un lieutenant parvient à destination avec quelques Thaïs ainsi que le groupement Wieme,2000 hommes ont disparu durant cette opération.
Mi decembre le GAP1 ,appelé à de nouvelles missions commence à quitter le camp retranché par avion,reste le GAP2 sous le commandement du colonel Langlais,de retour un pied dans le plâtre.


En fevrier les unités vietminh autour de la cuvettes de Dien Bien Phu sont prêtes à passer à l'attaque,la RP41 a été remise en état par des paysans requisitionnés,les approvisionnements nécessaires aux unités combattantes sont transportés par des milliers de coolies,ainsi que des centaines de camions russes Molotova(faisant partie de l'aide soviétique),sont présentes,la Division 308 de retour d'un raid de diversion sur Luang Prabang,les Divisions 304,312,316,la Division lourde 351  et un régiment de DCA.


Debut mars le vietminh intensifie sa pression dans le delta en lançant entre autres deux raids commandos sur les aérodrome de Bach Maï et de Cat BI , l'intervention d'un bataillon para permet d'éviter la destruction des avions.


Le 11 mars ,l'artillerie vietminh ouvre le feu sur la piste d'atterrissage de Dien Bien Phu,le 13,c'est le début de la bataille .


Les forces en présence :
côté amis
-12 bataillons d'infanterie
-1 batterie de 4 pièces de 155mm
-2 compagnies de mortiers de 120 (20 pièces)
-2 escadrons de chars légers Shaffee,12 chars transportés par avion et remontés sur place.
-2 compagnies de Genie
-2 quadruplés de DCA de 12,7mm

côté vietminh
-28 bataillons d'infanterie
-1 régiment d'artillerie de 24 pièces de 105mm
-1 régiment avec 15 canons de 75mm et 20 mortiers de 120mm
-1 régiment de mortiers équipé de pièces de 81mm
-3 bataillons de Genie
-1 régiment de DCA avec -30 pièces de 37AA -et une DCA légère de 12,7mm ou 20mm







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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 00:00
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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 10:45

Copie de document transmis par Michel Fries-UNP Thionville-2°BCCP.

 

Unité concernée 11°DP  (1971/1999)


codepara

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 11:40

Dans la catégorie ça se passe en France,(et pas seulement),quelques infos.

 

Une petite vidéo

Une lettre ouverte à un évêque

Les lieux de cultes profanés en France ces dernières années.


 

 

 

 


Lettre ouverte  à Son Excellence Monseigneur Louis SANKALE Evêque de Nice


                                                                               Monseigneur,


J’avoue m’être frotté les yeux à la lecture du communiqué que vous avez adressé le 3 mars dernier à la presse et fait afficher dans la cathédrale Sainte-Réparate, par lequel vous dénoncez comme « une honteuse initiative » l’organisation d’un « apéro porchetta rosé » par une association « Nissa Rebela » un jour « dédié à la prière par les croyants musulmans ».
Je n’ai pas les renseignements ou les sources dont vous semblez disposer sur le caractère « d’ultra droite » de cette association ni sur le fait qu’un certain nombre de ses membres seraient catholiques.
Je n’ai eu connaissance que de la volonté des intéressés de protester contre l’appropriation de la voie publique pour la pratique du culte musulman, laquelle se trouve d’ailleurs jouxter le chevet de la Basilique Notre Dame.
C’est ce qui a motivé « la condamnation sans appel » que votre autorité épiscopale se rappelle soudainement pouvoir fulminer.
J’ai donc eu la curiosité de rechercher dans les derniers mois -et sans remonter à votre intronisation comme Evêque de Nice en mars 2005- si une pareille intervention avait connu un précédent.

Le 5 février 2010 à Kahta (Turquie) le corps d’une jeune-fille de seize ans a été découvert. Elle avait été enterrée vivante pour manquement à la « culture islamique de l’honneur » (sic). (elle parlait en effet à des garçons)
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 3 juin 2010, toujours en Turquie, votre frère dans l’épiscopat, Monseigneur Luigi PADOVESE est égorgé aux cris de « Allahou akbar ».
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 31 octobre 2010, 53 chrétiens dont 2 prêtres meurent dans un attentat à la cathédrale Sayidat al Najat à Bagdad.
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 8 novembre 2010, Asia Bibi, paysanne pakistanaise qui avait le tort d’être chrétienne, est condamnée à mort par pendaison pour « blasphème envers le Prophète » (elle avait comparé Jésus à Mahomet ou l’inverse).
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune

A Noël, 38 chrétiens sont massacrés dans les villes de Jos et Maiduguri au Nigéria, d’autres sur l’île de Jolo aux Philippines, d’autres encore en Indonésie, toujours par des musulmans.
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 1er janvier 2011, un attentat fait 21 morts parmi les fidèles de l’église copte Al Kissidine à Alexandrie (Egypte).
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
le 4 janvier 2011, le gouverneur du Penjab (Pakistan) est tué pour avoir pris la défense d’une chrétienne condamnée pour avoir « insulté » le Prophète.
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 2 mars 2011, soit la veille de votre communiqué, le ministre catholique du Pakistan, Shabbaz Bhatti, est à son tour assassiné, motif pris de son opposition à la peine de mort pour blasphème.
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
Le 5 mars 2011, 4000 musulmans incendient les églises de Sainte Mina et Saint Georges (à 30 kms du Caire) au motif qu’une jeune femme, musulmane, aurait une liaison avec un copte.
Réaction de l’Evêque de Nice : aucune
J’arrête là le recensement non exhaustif de toutes les occasions qui vous étaient données d’affirmer votre position d’Evêque catholique au titre de ce « vivre ensemble » que vous placez vousmême sous l’invocation de « l’unité de tout le genre humain » (Lumen gentium § 1) mais qui s’arrête manifestement aux portes de votre diocèse.

A défaut donc de manifester une sollicitude universelle, vous pouviez au moins faire part de votre désapprobation lorsque le 8 décembre dernier, à quelques mètres de votre cathèdre, une procession de fidèles catholiques niçois a été insultée aux cris de « Allahou akbar », les chants à l’Immaculée Conception étant couverts par les youyous et les blasphèmes de ceux avec qui vous souhaitez un « vivre ensemble » non réciproque.
Vous n’avez vu là ni « discrimination » ni « vexation » puisqu’une fois de plus, votre silence religieusement correct a dû servir de réconfort à ceux dont vous avez la charge pastorale.
Cette abstention ne fait jamais qu’ajouter, comme dans tant d’autres circonstances (ex : le mutisme de la quasi-totalité de l’épiscopat français lors de la légalisation de l’avortement) à la tradition bien établie dans l’Eglise gallicane du « flumini obsequi ».

Pourtant vous venez de démontrer que vous pouvez manifester une indignation.
La place n’est pas ici de disserter sur le sophisme consistant à vous prévaloir de la déclaration Nostra Aetate, en oubliant opportunément Dignitatis Humanae sur la liberté religieuse et le décret Ad Gentes sur l’activité missionnaire de l’Eglise.
En revanche vos études d’islamologie doivent être bien lointaines si vous n’avez pas souvenir de ce que dit le Coran :

« Quand vous rencontrez des infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage et serrez fort les
entraves des captifs » (chapitre 47, 4)
Je vous recommande aussi de consulter l’index publié par l’ONG « PORTES OUVERTES » pour constater que sur les huit pays classés en tête de la persécution des chrétiens, sept pays à majorité musulmane, ne laissent ravir la première place que par … la Corée du Nord.
Dans le monde entier, l’Islam est une force d’oppression et les chrétiens sont persécutés sous les formes les plus diverses, de l’expulsion des prêtres catholiques comme au Maroc, de l’interdiction du culte comme en Arabie Saoudite, de la peine de mort et de l’assassinat comme au Pakistan, en Indonésie, aux Philippines, etc.
Mais ce que vous dénoncez en usant de vos fonctions, ce n’est pas l’assassin ni le persécuteur, mais ceux qui se lèvent pour défendre, les uns leur foi, les autres leur civilisation et à tout le moins leur mode de vie.
Adepte, sauf erreur de ma part, du principe de laïcité et de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui vous fait juge de la liberté d’expression politique de l’association sur laquelle vous appelez la sanction des autorités civiles ?
Qui vous a établi comme procureur pour réclamer « des représentants de l’Etat et des élus, l’application de l’esprit (sic) et de la loi de la République » ?
S’il y a une « initiative honteuse », Monseigneur, c’est votre communiqué.

Je n’aurais pas la prétention d’ajouter ma prière à celle que le Christ a déjà adressée à son Père sur la croix, lorsqu’Il a embrassé dans sa supplication l’innombrable cohorte de ceux « qui ne savent pas ce qu’ils font ».
Je vous serais reconnaissant en revanche de prier pour le simple fidèle que la contribution que vous croyez devoir apporter, en tant qu’Evêque de Nice, à l’islamisation galopante, conduit et contraint à admonester son pasteur.
A Nice, le 17 mars 2011
Henri-Charles LAMBERT
Baptisé le 24 juin 1951à Sainte-Marie Saint-Charles, Alger.

 

 

Profanation de lieux de cultes en France

Les lieux de cultes et cimetières Chrétiens sont les plus visés ...et de loin.
 
 - 2007- 151 profanations antichrétiennes.
                 8 profanations antimusulmanes.
                 5 profanations antisémites

 - 2008- 269 profanations antichrétiennes
               13 profanations antimusulmanes
                 3 profanations antisémites.
 
 - 2009- 216 profanation antichrétiennes
                 6 profanations antimusulmanes
                 4 profanations antisémites
.

 

Saluons le quotidien METRO d'avoir donné le 9 Juillet 2010 dans son numéro 1169 des statistiques sur trois années des Lieux de cultes profanés en FRANCE.

 


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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 09:10

 

Sans titre 1 - Copie

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 07:40

Texte transmis par Walter Bibaut -UNP Normandie-merci Walter.

 

ce texte date de un an,mais pour le Souvenir,le temps ne compte pas.

 

 

N° 2477
_____
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
TREIZIÈME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 29 avril 2010.
PROPOSITION DE LOI visant à établir la reconnaissance par la France des souffrances subies par les citoyens français d’Algérie, victimes de crimes contre l’humanité du fait de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique,
(Renvoyée à la commission de la défense nationale et des forces armées, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.) présentée par Messieurs


Thierry MARIANI, Michel VOISIN, Lionnel LUCA,
Claude GOASGUEN et Élie ABOUD,
députés.


– 2 –
EXPOSÉ DES MOTIFS                MESDAMES, MESSIEURS,
Le 19 mars 1962, le Gouvernement français signait avec le FLN seul, et non avec les représentants des différentes communautés algériennes ou avec ceux des autres partis, autonomistes ou indépendantistes, un cessez-le feu
dit « accords d’Évian ». Ces « accords » prévoyaient :
– L’indépendance
– Le retrait des autorités françaises des trois départements français,
Alger, Oran et Constantine. En réalité, il ne s’agissait pas d’accords au sens juridique du terme, le mot ne figurant nulle part dans le texte. Il ne s’agissait que d’une déclaration d’intention qui ne définissait pas les droits et obligations des deux parties ni ne prévoyait de sanction si les « intentions » n’étaient pas suivies des faits. D’ailleurs, le GPRA (Gouvernement provisoire de la République d’Algérie), réuni à Tripoli, refusa d’entériner le texte. Dès la fin du mois de mars 1962, les fonctionnaires et représentants de l’État (police, gendarmerie, postes, administration fiscale, etc.)
commencèrent à se retirer des villes et villages de l’intérieur du pays. Face à ce vide administratif et en l’absence de forces de l’ordre, le pouvoir dans chaque ville ou village évacué par les autorités françaises fut pris soit par des groupes de l’ALN, soit par des groupes souvent violents se réclamant la plupart du temps du FLN. Les musulmans, notables, anciens combattants et en général ceux qui avaient participé d’une façon ou d’une autre à l’administration du pays, par exemple comme fonctionnaires, furent rackettés, arrêtés, torturés, forcés de céder leurs biens, le plus souvent tués et leurs filles violées ou mariées de force. Il en alla de même pour les européens habitant à l’intérieur du pays, soumis dès lors à la terreur et notamment à la pratique systématique de l’enlèvement. Les hommes, femmes et enfants enlevés qui ne firent pas l’objet de rançons étaient systématiquement tués.



Ceux qui étaient enlevés lors des attaques menées par les groupes se réclamant du FLN étaient souvent enfermés dans des camps tenus par des responsables du FLN où ils étaient l’objet de mauvais traitements et tortures, soumis au travail forcé pour les hommes, violées et transformées en esclaves sexuels pour les femmes et les jeunes filles ; les survivants de ces camps sont peu nombreux, la plupart furent assassinés. À noter que ces camps de détention furent installés dès avril 1962 sur un territoire qui était français sous les yeux des autorités françaises.
Ces enlèvements, tortures, viols, meurtres pillages constituent des crimes contre l’humanité au sens :
– Du code pénal français : « La déportation, la réduction en esclavage ou la pratique massive et systématique d’exécutions sommaires, d’enlèvements de personnes suivis de leur disparition, de la torture ou d’actes inhumains, inspirées par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux et organisées en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile sont punies de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article ». (Article 212-1) – Du Traité de Rome instituant la Cour Pénale Internationale : L’article 7 définit onze actes constitutifs de crimes contre l’humanité, lorsqu’ils sont commis « dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique dirigée contre toute population civile et en connaissance de l’attaque » : meurtre ; extermination ; réduction en esclavage ; déportation ou transfert forcé de population ; emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; torture ; viol, esclavage sexuel, prostitution forcée, grossesse forcée, stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable ; persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour ; disparition forcée de personnes ; crime d’apartheid ; autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale ».
– Des Traités et Conventions signées sous l’égide des Nations Unies depuis 1945 :
– L’article 6-C du statut du Tribunal militaire international de Nuremberg (Charte de Londres, 8 août 1945, résolution de l’ONU du 13 février 1946), dans le droit positif français, définit crimes contre l’humanité comme : « L’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre ; ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions, qu’ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du tribunal ou en liaison avec ce crime. »
– En 1948, une résolution des Nations unies est votée « confirmant les principes du droit international reconnus par le statut de la Cour de Nuremberg».
– En 1968, la Convention sur l’imprescriptibilité des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité déclare solennellement l’imprescriptibilité des crimes les plus graves.
– La résolution de l’ONU créant le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY Résolution 827) reprend en 1993 la définition du crime contre l’humanité du Statut du tribunal de Nuremberg.
– La même démarche est suivie le 8 novembre 1994 lors de la création du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR –
Résolution 955).
– La Convention contre les disparitions forcées, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 20 mars 2006 dispose dans son article 5 que « la pratique généralisée ou systématique de la disparition forcée constitue un crime contre l’humanité, tel qu’il est défini dans le droit international applicable, et entraîne les conséquences prévues par ce droit ».
La France est signataire de tous ces instruments juridiques et les a ratifiés.



Il y eut dans l’année suivant le cessez-le-feu du 19 mars 1962, plus d’enlèvements et d’assassinats de musulmans pro-français, de juifs ou civils européens que durant toutes les années de guerre précédentes. Un mouvement d’exode des européens, des non-arabes et nonmusulmans (notamment des membres des communautés juive ou berbère chrétienne) commença.Dans les zones côtières et notamment autour des villes peuplées en grande partie d’européens (Oran : 230 000 européens ; Alger), les forces de l’ordre françaises restèrent présentes mais n’intervinrent plus pour protéger les populations civiles, indigène (musulmans, chrétiens ou juifs) ou européenne.
Les autorités françaises, tant en Algérie qu’en France, tant militaires que civiles, étaient au courant de ces exactions et persécutions que subissaient les citoyens français du fait de leur appartenance à telle ou telle communauté, notamment définie par la religion (menaces, persécutions, enlèvements, meurtres subis par les chrétiens – européens ou berbères – par les juifs etc.) mais aussi par l’origine ethnique ou l’appartenance politique.


Rien n’a jamais été fait pour protéger les citoyens français habitant en Algérie à l’époque.
Rien n’a jamais été fait pour rétablir la loi et l’ordre.
Rien n’a jamais été fait pour rechercher, arrêter, juger et punir les assassins et violeurs.


Au contraire, des ordres stricts ont été donnés aux forces de l’ordre et à l’armée française pour ne pas intervenir.
Ces exactions, pillages, viols, meurtres, répondaient à une politique concertée visant notamment à faire partir toute la population nonmusulmane d’Algérie. Cette politique fut décidée au plus haut niveau de l’appareil du FLN et mise en oeuvre partout sur le territoire algérien au fur et à mesure que les représentants du FLN prenaient le pouvoir dans les
villes et villages.


L’établissement de camps s’inscrit dans cette logique.
Les massacres d’Oran s’inscrivent aussi dans cette logique.

Ils commencèrent dans la matinée du 5 juillet 1962, le jour officiel même de l’indépendance. Ils prirent fin officiellement le soir, mais dans les centres de détention où avait été rassemblée la population européenne, les
tueries continuèrent pendant plusieurs jours.
Une fois obtenue la neutralité des forces françaises qui étaient cantonnées dans les casernes de la ville et dans le port, des unités militaires du FLN accompagnées de civils venant de l’intérieur du pays se répandirent dans tous les quartiers d’Oran, entrant dans les lieux publics (postes, restaurants, etc.), pillant les magasins et entrepôts, forçant les
portes des appartements, rassemblant les habitants non-musulmans désarmés, les emmenant dans des commissariats ou d’autres centres de détention (comme les Abattoirs d’Oran), les tuèrent ou les livrèrent à la
foule qui lyncha, après les avoir torturés, ceux qui lui étaient livrés. Policiers et soldats français observaient les tueries, qui avaient lieu parfois à quelques mètres de leur casernement, sans qu’aucun d’entre eux ne soit intervenu.
Les jours qui suivirent, la population d’Oran – qui était en majorité européenne – s’exila et quitta le pays, abandonnant tous ses biens.
Le nombre de victimes du massacre d’Oran se compte en milliers de morts, hommes, femmes et enfants.
Il s’agissait de terroriser et faire fuir du pays les habitants de la plus grande ville européenne après Alger.
De la même manière, les massacres, moins spectaculaires, commis dans l’Algérois et le Constantinois aboutirent à l’exil des populations non  musulmanes, le gouvernement français s’étant opposé au rapatriement des harkis et de leurs familles.
Les européens, prêts à vivre sur le territoire d’une Algérie indépendante, renoncèrent alors.
En quelques semaines, ce sont plus d’un million de non-musulmans qui fuirent le pays victimes de la stratégie d’épuration ethnique pratiquée par le FLN. Cette politique, fondée sur le programme nationaliste des années 30, qui consistait à prôner une Algérie indépendante et uniquement arabo-musulmane, fut mise en oeuvre sciemment par une politique de terreur systématique (attentats visant des civils dans des lieux publics, enlèvements, massacres, etc.).

Ces exactions ont eu lieu dans un pays qui n’était plus en guerre depuis les accords d’Évian : au cours de cette période, il n’y a plus aucun combat signalé entre forces françaises et troupes du FLN. En revanche, les forces françaises s’attèlent à désarmer les groupes d’auto-défense harkis ou européens constitués pour parer les attaques
menées depuis des années contre les civils Les musulmans pro-français restés sur place, soit parce qu’ils avaient
confiance dans les déclarations de fraternité des nouvelles autorités, soit parce que les autorités françaises les avaient empêchés de fuir, furent massacrés dans une vaste opération d’élimination qui commença après les accords d’Évian et se poursuivit longtemps après l’indépendance.


Les spécialistes estiment à cent mille les victimes de ces massacres commis sur des populations désarmées, hommes, femmes et enfants, tous assassinés dans des circonstances atroces, torturés, énuclées, émasculés,
amputés, déchiquetés, brulés vifs.
Le caractère réfléchi et prémédité d’une telle politique d’élimination fondée sur des critères religieux, ethniques et politiques ressort aussi du fait que les persécutions continuèrent pendants des mois après l’indépendance proclamée le 5 juillet 1962, jusqu’à la disparition complète de la population européenne, de la population juive et des populations berbères ou arabes chrétiennes, leurs biens confisqués, leurs cimetières détruits, les traces historiques de leur présences anéanties, y compris les temples juifs, protestants et les églises.
Les massacres, enlèvements, viols et assassinats continuèrent jusqu’au départ des derniers juifs et européens, au moins jusqu’en décembre 1963.
Les dépouilles des victimes se trouvent dans des charniers situés à l’emplacement des camps et des lieux de détention.

PROPOSITION DE LOI
Article unique
La France reconnait les souffrances subies par les citoyens français d’Algérie victimes de crimes contre l’humanité commis du 19 mars 1962 au 31 décembre 1963 du fait de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 07:38

Bonjour

 

Le blog UNP Thionville et Sections Associée a été créé le 19 avril 2009,il va donc avoir deux ans dans quelques jours.Depuis ses débuts la fréquentation a été en augmentation,elle a baissé ces derniers mois,ce qui est normal,d'abord il est modeste,il n'est pas le seul du genre,d'autres blogs parlant de sujets à peu près semblables existent et leur nombre est en augmentation.Mais,bon,nous tenons toujours la route avec une moyenne de cent personnes qui se connectent ces derniers jours.

 

Nous avons a ce jour reçu 60.036 visiteurs(uniques) et le nombre des pages vues est de 204.645.

 

Des suggestions étaient souhaitées,elles sont restées sans réponse.

 

Pour le blog.Amicalement-DLF

 

Pour vous donner une idée,dans l'administration du blog on trouve la répartition de la fréquentation,la veille,sur 7 jours ou les trente derniers jours.Ci dessous la première des 17 pages concernées, allant du nombre supérieur au nombre inférieur de visiteurs.A ces chiffres peuvent s'en ajouter d'autres sur les pages suivantes.

 

 

statistiques2

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