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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 14:05

 

L’UNI (Union Nationale Inter-universitaire) est une association indépendante qui rassemble « tous ceux (lycéens, étudiants, enseignants, socio-pro, retraités …) qui s’intéressent aux problèmes de l’enseignement et de la recherche et qui souhaitent promouvoir la connaissance et la culture auprès de l’ensemble des français ». L’UNI milite pour une société de liberté et de responsabilité. L’UNI est dirigée par un bureau national. Son action est parrainée par un comité d’honneur.

 

 

 

Lien vers le site de l'UNI    :link

 

 

 

Affaire Guéant : victoire de la liberté d’expression sur les hérauts du politiquement correct

Claude Guéant ne sera pas poursuivi.

La Cour de Justice de la République (CJR) a tranché aujourd’hui sur le dossier de Claude Guéant et ne souhaite pas ouvrir d’enquête suite à sa saisie par l’association SOS Racisme pour « incitation à la discrimination raciale ». Claude Guéant, que l’UNI avait soutenu dès le départ de l’affaire avec la mise en place d’une pétition, avait déclaré le 4 avril dernier : « En 1905, il y avait très peu de musulmans en France, aujourd’hui il y en a entre 5 et 6 millions. L’accroissement du nombre de fidèles et un certain nombre de comportements posent problème. »

Encore une fois, après l’affaire Zemmour, SOS Racisme a préféré tenter de saisir la justice plutôt que de débattre et de réfuter la thèse du Ministre de l’Intérieur au moyen d’arguments solidement établis. L’UNI salue cette victoire de la liberté d’expression.

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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 15:31
Capt_110605_162627_001.jpgImmigration : quand la droite était (très) à droite

 

Les Etats-généraux sur l'immigration, en 1990“Valeurs actuelles” a retrouvé les propositions chocs des états généraux de l’opposition RPR-UDF sur l’immigration. Pour la plupart “oubliées”.

« La France ne peut plus être un pays d’immigration », elle « n’est pas en mesure d’accueillir de nouveaux immigrants »… Voilà, entre autres, ce à quoi s’engageaient la droite et le centre, en cas de retour au pouvoir, à l’occasion de ses “états généraux de l’opposition” (RPR et UDF, transformés en UMP) consacrés à l’immigration, des 31 mars et 1er avril 1990 à Villepinte.

Parmi les participants : Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, Michèle Alliot-Marie, Roselyne Bachelot, Alain Juppé, Gérard Longuet, mais aussi… François Bayrou. Co­responsable, au nom du RPR, de cette convention, c’est Nicolas Sarkozy lui-même qui a cosigné (avec Alain Ma­delin) la préface du compte rendu de 39 pages publié à cette occasion.

Affirmant que « la France ne doit pas être considérée comme un simple espace géographique sur lequel plusieurs civilisations pourraient coexister » et dénonçant le « faux antiracisme militant », ce qui est depuis devenu l’UMP en appelait alors clairement à « la fermeture des frontières » et à la « suspension de l’immigration ». Loin, très loin, du “contrôle régulé” et de “l’immigration choisie” aujourd’hui défendus…

Pas question non plus de « régularisation au cas par cas » pour les « clandestins » (on ne parlait pas alors de “sans-papiers”). Seule solution envisagée : une politique assumée d’expulsions : « On ne peut tolérer que des clandestins puissent rester en France. […] Il faut tout mettre en œuvre pour que les décisions de reconduite à la frontière soient effectives. » Vingt ans après, en 2010, Éric Besson, alors ministre de l’Immigration, reconnaissait pourtant que près de 80 % d’entre elles n’étaient pas exécutés…

Expulsables, aussi, pour la droite des années 1990, les “faux réfugiés” : « La très grande majorité des dossiers déposés à l’Ofpra [Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR] s’avère injustifiée (de l’ordre de 90 %), ces demandes n’étant qu’un prétexte pour bénéficier des avantages sociaux français. » Même les étudiants étrangers ne sont pas épargnés : « Il faut conditionner le séjour des étudiants étrangers en France à un déroulement normal du cursus universitaire : le titre de séjour doit être renouvelé annuellement en tenant compte des résultats obtenus » – une proposition jamais mise en pra­tique.

Également dans le collimateur : « Le regroupement familial, [qui] pose par son ampleur des problèmes très réels de logement, de scolarisation  et d’encadrement so­cial. » Proposition alors « lar­gement ap­prouvée » par l’ensemble de la droite et du centre : « Corriger l’automaticité du regroupement familial et la réserver aux immigrés titulaires d’une carte de long sé­jour (10 ans) » – ce qui, là encore, n’est toujours pas le cas.

Afin de ne plus attirer de nouveaux immigrés, la droite n’hésitait pas non plus à briser le “tabou” de « notre système de protection sociale », dont il faut « éliminer les points faibles qui créent une incitation artificielle à l’immigration ». C’est ainsi, notamment, que doivent être « vigoureusement combattus […] l’accès aux soins médicaux et hospitaliers par des étrangers en situation irrégulière » – qui envisage aujourd’hui la suppression de la CMU ? Quant à « l’immigré chô­meur, [il] percevrait alors non des allo­cations chômage mais une allocation pour le retour sous forme de capital ou de rente ».

Flirtant avec la “préférence nationale” prônée par le FN, la droite allait jusqu’à s’interroger « s’il ne convient pas de réserver certaines prestations sociales aux nationaux » : « Dans ce domaine, rap­pelle-t-elle, le législateur a admis dans le passé le bénéfice des prestations aux seuls nationaux […] : être étranger en France, ce n’est pas avoir automatiquement et intégralement tous les droits liés à la citoyenneté française. »

 

 

Voir la suite de cet article sur ce lien:link   (site Valeurs actuelles.)

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:24

Cette lettre reçue ce matin date un peu,mais la mémoire étant ce qu'elle est devenue,une information chasse l'autre,un petit rappel ne peut nuire à personne.

 

 

         Inversion des valeurs - lettre d'une mère à une autre mère HISTOIRE VRAIE.
 


                                                                               Chère madame,

J'ai vu votre protestation énergique devant les caméras de télévision contre le transfert  de votre fils de la prison de Arlon à la prison de Leuven.
 Je vous ai entendue vous plaindre de la distance qui vous sépare désormais de votre fils  et des difficultés que vous avez à vous déplacer pour lui rendre visite.

 J'ai aussi vu toute la couverture médiatique faite par les journalistes et reporters sur les autres mères dans le même cas que vous et qui sont défendues par divers organismes pour la défense des droits de l'homme, etc...
 
 Moi aussi je suis une mère et je peux comprendre vos protestations et votre mécontentement.
 
 Je veux me joindre à votre combat car, comme vous le verrez, il y a aussi une grande distance qui me sépare de mon fils. Je travaille mais gagne peu et j'ai les même difficultés financières pour le visiter. Avec beaucoup de sacrifices, je ne peux lui rendre visite que le dimanche car je travaille tous les jours de la semaine et aussi le samedi et j'ai également d'autres obligations familiales avec mes autres enfants.
 
 Au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis la mère du jeune que votre fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille.


 J'irai lui rendre visite dimanche prochain.
 
 Pendant que vous prendrez votre fils dans vos bras et que vous l'embrasserez, moi je déposerai quelques fleurs sur sa modeste tombe dans le cimetière de la ville.
 Ah , j'oubliais. vous pouvez être rassurée, l'état se charge de me retirer une partie de mon maigre salaire pour payer le nouveau matelas de votre fils puisqu'il a brûlé les 2 précédents dans la prison où il purge sa peine pour le crime odieux qu'il a commis.
 
 Pour terminer, toujours comme mère, je demande à tout le monde de faire circuler mon courrier,  si intime qu' il soit. Nous parviendrons ainsi peut-être à arrêter cette inversion des valeurs humaines.
                            Les droits de l'homme ne devraient s' appliquer qu'aux hommes droits !!!
 
Edith Besançon
 10 Montée Beaumur
 38200 Vienne
 04.74.85.07.64
 06.22.59.33.40

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 17:52
Et si nous parlions un peu de nos racines(pas de politique pas de religion interdit chez nous).

 

Alors une petite vidéo,pour info.
 ça serait dommage de ne pas savoir,non?
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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 18:15

 

 

Libres propos de Gilbert Collard (avocat)


Marine Le Pen donnée par un sondage en tête au premier tour de la présidentielle, je crains le pire pour le révérend père président de la République, Nicolas Sarkozy du Chardonnet. Va-t-on le filmer, errant sur les lieux de mémoire vêtu d’une soutane noire ? Va-t-il transformer le Fouquet’s en lieu de pèlerinage pour people repentis ? Va-t-il remplacer le marathon de New York par le marathon de Saint- Jacques de Compostelle ?  Ce petit jeu cache une vraie trouille qui est une peur politique des conséquences de la maltraitance identitaire française depuis des années. Depuis vingt ans, peut-être plus, une certaine honte de la France a été cultivée, reléguant à une forme de racisme simplificateur toute revendication de dignité nationale, d’expression d’une histoire millénaire, de souhait secret d’être un peu respecté.


S’il n’y avait Marine Le Pen qui ose exprimer haut et fort le non-dit d’une France  exaspérée d’être ignorée, croyez-vous qu’on s’intéresserait tout à coup à un peuple qui cherche à retrouver enfin une adresse à la poste restante de l’histoire, du mondialisme et d’une Europe déracinée ?  Un peuple qui aime son pays, ses paysages, ses traditions, sa Patrie, même s’il n’ose encore le dire par peur du rire, qui, d’où qu’il vienne, s’est fondu par le temps qui passe dans la Nation.


Un peuple qui  cherche à faire respecter son héritage judéo-chrétien.  Oserait-on, aujourd’hui, évoquer « la France des racines », dont jusqu’alors on se foutait, s’il n’y avait en sourdine un besoin de ressourcement reconstructeur.
La difficulté pour l’actuel pontife présidentiel, c’est qu’il ne suffit pas de visiter une cathédrale médiévale au Puy –en-Velay, de s’improviser le notaire d’un « magnifique héritage »  chrétien, pour être crédible dans cette posture.


Trop de crachats impunis ont depuis des années souillé d’humiliations notre histoire ; trop d’atteintes à notre identité de tous les jours comme de tous les temps historiques nous ont été infligées : l’hymne hué, sifflé, le drapeau transformé en torche-cul,  notre langue estropiée, abandonnée, notre passé toujours en procès, notre diplomatie démonétisée, notre culture judéo-chrétienne et notre amour des autres tournés en dérision, transformés en économie frauduleuse. Tout ce mal,  sans qu’on lève le petit doigt politique, associatif, judiciaire pour essuyer l’affront.


Ce qui est extraordinaire, c’est qu’il faille que le président devienne potentiellement candidat pour découvrir qu’il existe en France des Français qui aiment la France et ses racines sans être racistes, xénophobes, ou même franchouiardement con !  Si l’identité, comme on dit, faute de mieux, avait été honorée comme il se doit, dans le respect réciproque des autres et par les autres,  serait-il nécessaire d’en faire un débat, d’en parler, d’en discuter ? L’ouverture de cette discussion est révélatrice d’une souffrance française : le mal du pays !

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 20:02

Source de l'article:MidiLibre.com

lien vers l'article:   link

(ce lien est mort)

Quelques histoires à ne pas dire sur l'Algérie


 

  Juste des faits, des témoignages. Pour déconstruire les mythologies qui fondent l'imaginaire national algérien. C'est avec sa caméra que le cinéaste Jean-Pierre Lledo s'attache depuis des années à les recueillir. À travers Algérie, histoires à ne pas dire, présenté ce soir, il revient sur les crimes cachés de cette guerre de libération qui fut aussi, à ses yeux, une guerre d'épuration ethnique.

Après avoir fui l'Algérie, son pays, en 1993, suite à l'assassinat de deux de ses amis par les islamistes, c'est en France que Jean-François Lledo poursuit sa carrière de cinéaste entamée dans les années 1970. La censure est certes moins présente mais il faut se battre pour trouver des financements. «   Je me suis très vite aperçu que mon discours critique dérangeait aussi les Français. Ils veulent une histoire anticoloniale et idéalisent aujourd'hui cette Algérie. »



En 1963, vous êtes un Algérien si vous êtes musulman
En 2005 et 2006, Jean-Pierre Lledo se rend en Algérie pour tourner son film et recueillir des témoignages.   « Je découvre que la guerre a été conduite en fonction de deux objectifs. Le premier assumé par le FLN : mettre fin aux relations avec la France. Le second non avoué : que l'Algérie soit purifiée de ses non-musulmans. Ils n'auraient plus à faire avec la question difficile des minorités. Jamais un système de cohabitation entre communauté n'a été imaginé. »

Et de rappeler ce code de la nationalité de 1963 stipulant que vous êtes un Algérien si vous êtes musulman. Et ces militants communistes qui se sont battus pour l'indépendance de l'Algérie mais qui n'ont pu obtenir la nationalité.   Le film s'attarde aussi sur quatre événements. Les massacres à El Halia (Philippeville) le 20 août 1955. Les attentats à la bombe et la bataille d'Alger (1956-1957). L'assassinat du chanteur juif Raymond Leyris à Constantine, le 22 juin 1961. Et enfin les massacres à Oran, le 5 juillet 1962, alors que l'Algérie était déjà indépendante.

Sans surprise pour Jean-Pierre Lledo, le film est censuré en Algérie.   « Je ne pensais pas que les intellectuels algériens, imprégnés de nationalisme, défendraient le fond du film. Mais j'espérais qu'ils se lèveraient contre la censure ». En vain.   « Car si on ébranle l'histoire officielle d'un régime qui n'a pas de légitimité populaire, c'est comme si on ébranle le régime lui-même. »


FREDERIC AMADON


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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 13:37
" Communiqué "

 

19 mars 2011 à Bayonne

Faisant suite à une soirée agitée et passablement arrosée, nous arrivâmes au point de rendez-vous vers 9H00. Les paras étaient déjà là, avec leurs silhouettes singulières et leurs bérets rouges vissés sur le crâne. Quelques banderoles flottaient çà et là et de temps à autre, une voiture abordait le rond-point St-Léon en ponctuant son passage d’un coup de klaxon nous espérions un " ti ti ti- ta ta....." (beaucoup nous saluaient l'effet béret rouge peut-être les paras ont la côte !) auquel le public ne manquait pas de répondre.

Rapidement, la foule devint plus dense, tracts et publications amies circulèrent, puis débarquèrent enfin quelques bus remplis de pieds noirs et harkis venus du Béarn, du Lot et Garonne et d’ailleurs.

Le climat était correct, les journalistes au rendez-vous et l’ambiance bon enfant.

Le cortège se mit en place, les plus jeunes en prirent la tête et nous partîmes enfin, dans une longue procession, silencieuse et digne, comme cela avait été convenu.

Quelle ne fut notre surprise, en arrivant au niveau du Monument aux Morts, de constater que deux gerbes gisaient au pied du fronton désert. La FNACA, que nous devions croiser à cet endroit, était absente ! Pas l’ombre d’un ancien combattant, pas de fanfare, pas de discours, rien ! Juste deux gerbes témoignant d’un passage furtif. Les mises en garde proférées par quelque fanfaron au cours des mois précédents, faisaient place au vide. La place avait été abandonnée avant notre arrivée, la cérémonie hâtivement bâclée et les CRS déjà se déshabillaient. La confrontation tant attendue n’aurait pas lieu. Les autorités avaient habilement manœuvré afin que nous ne rencontrions pas les membres de la FNACA auxquels nous avions pourtant tant à dire.

Peu après avoir surmonté cette légère frustration, quelque slogans furent repris en cœur, quelques coups de sifflets, puis la mairie et la rencontre avec les élus.

Une délégation de 13 personnes représentant la diversité du cortège, fut reçue par Jean-René Etchegaray, 1er adjoint, et le chef de cabinet du maire de Bayonne.

Au cours de cet entretien, il nous fut dit que Jean Grenet, le député-maire de Bayonne (qui avait déclaré au journal Sud-Ouest qu’il participerait à la commémoration de la FNACA, et promis lors de l'assemblée générale de l'APNCB qu'il recevrait une délégation ce jour......) avait dû quitter la ville pour satisfaire une contrainte de dernière heure. 

L’entretien fut long, précis et bien des fois émouvant. Je ne reviendrai pas ici sur les éléments développés, car vous connaissez tous nos thèses, amplement relayées sur Facebook, et par toute la communauté des rapatriés, mais nos arguments furent exposés dans le détail et il fut expliqué à nos hôtes pourquoi nous n’accepterions plus que la Ville de Bayonne continue à cautionner à des fins opportunistes, la honteuse commémoration du 19 mars.

Les militaires firent un rapide rappel historique à nos interlocuteurs, Veritas, dans le rôle que nous lui connaissons, développa une solide argumentation contre la commémoration du 19 mars, les Harkis joignirent leur voix au combat commun et il fut enfin évoqué une idée intéressante, consistant à proposer aux conseils municipaux des mairies sollicitées par la FNACA, de débattre de l’opportunité de soutenir ou non les commémorations du 19 mars, au vu d’éléments tangibles.

On peut espérer, si nous parvenions à imposer l’idée d’un vrai débat concernant le 19 mars au sein même des conseils municipaux, que nos arguments soient enfin entendus et que les élus s’engagent enfin sur la base d’éléments patents, et non plus à partir des seuls artifices d’une association d’anciens combattants dissidente anti-française et anti-démocratique.

Elu et Chef de Cabinet du Maire laissèrent fuser leur surprise, en nous raccompagnant jusqu’au perron, lorsqu’ils aperçurent les quelques centaines de personnes qui nous attendaient au pied du bâtiment.

A notre retour sur le perron de l’Hôtel de Ville, le soleil réchauffait les corps et le chant des africains retentit quelques minutes encore, avant que la foule se disperse en silence.

Au cours du débriefing qui fit suite au défilé du matin, il fut décidé de se rapprocher plus étroitement des organisateurs des autres manifestations qui essaimèrent à travers le pays, afin de créer ensemble un collectif national capable de lutter efficacement contre les commémorations du 19 mars 1962, jusqu’à éradiquer définitivement cette provocation inutile.

Ce collectif aura pour mission de multiplier de façon unitaire et homogène, les mouvements de protestation dans des dizaines de villes de France, le 19 mars prochain, à l’occasion du 50ème anniversaire d’un funeste cessez-le-feu qui sonna le glas des pieds noirs et des harkis.

Je voudrais dire enfin à tous ceux qui nous ont épaulés dans cette aventure et surtout à ceux qui ont fait le déplacement, parfois depuis l’autre bout du pays, que si ce 19 mars à Bayonne, nous fûmes un peu frustrés de n’avoir croisé les membres de la FNACA qui nous provoquent depuis des mois, il n’en reste pas moins que :

- Le maire de Bayonne a renoncé à encadrer comme il l’avait prévu, la commémoration de la FNACA,

- Robert Graca, président de la délégation FNACA du Pays Basque, a déclaré au journal Sud-Ouest, que la seule intention de l'association était « de marquer le cessez-le-feu et de rendre hommage aux morts civils et militaires »… mettant ainsi de l’eau dans son fiel,

- Pour une fois, aucun journal, aucune télé, ne nous a qualifiés de nostalgiques, ni d’extrémistes même si France 3 dans ses images s'est bien gardée de montrer les paras ne laissant voir que des civils....

- Nous avons enfin pu nous rencontrer, transformant le virtuel en réalité.

Ce dernier point étant à mon sens le plus important.

Grâce à votre engagement, quelques milliers de rapatriés, de militaires et de métropolitains concernés, ont relevé la tête et ont défilé ce 19 mars dans les rues de France, donnant sans le savoir l’impulsion d’un mouvement d’ampleur qui culminera le 19 mars prochain.

Merci à tous.

" Le Comité Anti 19 mars 1962 "




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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 11:56

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 15:05

Vous trouverez les points de situation journaliers de IRSN sur le lien suivant:   link

 

 

 

 

-lien vers point de situation IRSN du 22 mars à 6 heures:     link

-lien vers point de situation IRSN du 21 mars à 15 heures:    link

-lien vers point de situation IRSN du 20 mars à 6 heures:       link  (avec vue du site)

-lien vers point de situation IRSN du 19 mars à 6 heures:        link   link

-lien vers point de situation IRSN du 18 mars à 14 heures:      link

-lien vers point de situatiuon IRSN du 17 mars à 15 heures:   link 

-lien vers point de situation  de IRSN du 16 mars à 19 heures: link 

-lien vers point de situation de IRSN  du 16 mars à 9heures   :  link

 

-lien vers le fil d'infos IRSN:     link

 

vous trouvez sur ce lien les points de situation journaliers et la foire aux questions:

-qu'est-ce qu'un réacteur à eau bouillante(BWR)  link

-sureté des installations nucléaires  link

 

-lien vers point de situation de IRSN  du 15 mars à 15h30: link

 

- lien vers point de situation de IRSN du 13 mars à 19 heures:  link

 

 

Une bonne source d'information sur le lien suivant:link

 

 

 

 

Article paru sur le site Le Monde.fr (Asie-Pacifique)  du 12 mars 2011-voir ce lien:link

 

 

Le réacteur de Fukushima est dit à eau bouillante (REB). Contrairement aux réacteurs français, à eau sous pression (REP), il n'y a pas d'échange thermique entre un circuit primaire en eau liquide et un circuit secondaire en eau vapeur, ce qui est un gage de simplicité. En cas d'accident de perte de réfrigérant (perte d'eau primaire), il est nécessaire, dans ces deux types de réacteurs à eau, d'injecter de l'eau dans la cuve pour assurer le maintien sous eau du combustible de façon à prévenir sa dégradation pouvant aller jusqu'à sa fusion.

"C'est ce mécanisme qui a été mis en défaut par le séisme, puis le tsunami", expliquait  Thierry Charles directeur de la sûreté des usines nucléaires à l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), samedi 12 mars à 9 heures du matin. Le tremblement de terre a entraîné la mise à l'arrêt automatique du réacteur, dont le coeur doit cependant continuer à être refroidi. Mais le tsunami a partiellement noyé le site, mettant hors d'usage les groupes d'alimentation électrique diesel qui sont censés prendre le relais. "C'est pourquoi, hier (vendredi 11 mars), l'exploitant a fait venir des groupes diesel externes", précisait-il.

Mais ces opérations n'ont pas empêché le niveau de l'eau dans le coeur de diminuer, par transformation de l'eau liquide en vapeur. Les autorités ont décidé de relâcher une partie de celle-ci dans l'environnement pour faire baisser la pression dans l'enceinte de confinement, ce qui explique l'élévation du niveau de la radioactivité dans l'environnement immédiat de la centrale et l'évacuation des populations dans un rayon de 10 km.

"Les informations sont parcellaires", indiquait M. Charles, qui constate que les déclarations de l'autorité de sûreté japonaise et celles de l'exploitant Tepco ne concordent pas totalement, le second indiquant que la fonte du coeur n'est pas en cours.

"On est à la frontière de la fusion", estimait samedi matin Thierry Charles. Tout dépendait désormais de la capacité de Tepco à injecter de l'eau de refroidissement dans le coeur. S'il n'y parvenait pas, la fusion pourrait avoir lieu "en quelques heures", indiquait l'expert. La question de l'impact sanitaire et environnemental dépendrait ensuite totalement de l'état de l'enceinte de confinement, "mais on ne le connaît pas", notait Thierry Charles. Quelques minutes plus tard, on apprenait que le bâtiment était en partie détruit.

Hervé Morin

 



 

Reacteur à eau bouillante-origine de l'image et texte :site le dictionnaire visuel  :link

(lmage utilisable gratuitement par les blogueurs).

 

cliquez sur ce lien pour informations sur les différents types de réacteurs nucléaires existant dans le monde.

 

 

réacteur à eau bouillante - Le Dictionnaire Visuel

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 07:20
                                  MOBILISATION à VALENCE

                           contre la célébration du 19 mars 1962 !  !cid CABDE4E20EE0477EB2D5668442D3C9B7@PCdebureau
 
 
Le 19 mars est toujours et restera longtemps une date douloureuse d’infamie, de lâcheté et de traîtrise.
Afin de montrer notre révolte, les associations harkis et rapatriés Valentinoises appellent à une manifestation
 dans les rues de Valence pour dénoncer, une nouvelle fois, la célébration du 19 mars 1962.
  
A cette occasion, un rassemblement sera organisé le 19 mars 2011.
Nous vous donnons rendez-vous à 14h30 place de la Liberté (Mairie de Valence).
Puis nous nous dirigerons en cortège, avec banderole et pancartes dans le calme et la dignité,
jusqu’au Dauphiné Libéré, pour remettre au journal une lettre expliquant les raisons de notre action.
  
Plus que jamais, nous nous devons d’être vigilants et de montrer notre détermination.
Nous devons informer et montrer que la date du 19 mars 1962 n’est pas la fin de la guerre, ni un armistice,
mais bien une véritable offense envers les dizaines de milliers de français de toutes origines, assassinés ou disparus après cette date.
                    Venez nombreux à cette manifestation ! 
                                             
Merci de transférer à tous vos contacts.
  
Contact : Bernard CINI : 06 29 58 59 07
Cercle de Valence : contact@cerclealgerianiste2607.fr
 
                                               -cid_0BAE2211AB5E4C26A848EE44513ABB77-PCdebureau.gif
 
Rendez-vous à 14h30 - place de la Liberté (Mairie) - n°15 sur le plan
(voir pièce jointe)
 
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Ne pas oublier aussi les manifestations contre le 19 mars à :
 

Bayonne

Rendez-vous à 9h30, à l’angle du Rond-Point St Léon et des Allées Paulmy
Le départ de la marche aura lieu à 10h30
Contact : Jean-Yves Barrère 06 11 28 46 52

Istres

Rendez-vous à 10h00, au Monument aux Morts d’Istres, derrière la Mairie
Contact : Hervé Cuesta 06 60 73 80 92 - 04 93 47 90 66

Toulouse

Rendez-vous à 11h00, Place Saint Etienne (devant la Préfecture)
Contacts : Marcel Lizon : marcel.lizon@orange.fr - 06 79 81 69 12
Lionel Vives : 05 62 62 18 98
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