Transmises par René Ribeaucourt.merci René.
un peu de flou pour quelques-unes
Transmises par René Ribeaucourt.merci René.
un peu de flou pour quelques-unes
Vidéo Youtube émise par lefigaro.fr
Cinq soldats français ont été tués ce mercredi lors d'un attentat suicide dans la province de Kapisa (est de l'Afghanistan), où sont notamment stationnés des militaires français, a
annoncé l'Elysée dans un communiqué.
«Les soldats français participaient à la protection d’une "shura" (assemblée de notables) à Joybar dans la vallée de Tagab. Un terroriste a déclenché sa bombe à proximité des soldats français
blessant grièvement quatre autres soldats français et trois civils afghans», explique le communiqué. Un civil afghan est également mort dans l'attaque. «Le président de la République présente aux
familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances et s’associe à leur douleur», poursuit le texte.
L'attentat s'est produit le lendemain de la visite en Afghanistan du Président français.
Pour changer un peu
l'origine de cet article est en bas de page.
Publié le lundi 30 mai 2011 à 11H00 « Il faut arrêter d'emmerder les Français » JEUDI matin, en revenant d'accompagner mon fils au lycée, je roulais prudemment à 90
km/h sur l'autoroute urbaine de Reims, me demandant pourquoi il était désormais interdit d'y circu-ler à 110 km/h, vitesse autorisée depuis toujours. À la radio, un journaliste commentait
l'alourdissement hallucinant des peines qu'allaient bien-tôt encourir les contrevenants au code de la route. Vers 13 heures, au journal de France 2, Élise Lucet racontait l'histoire de citoyens
lambda qui, le plus humainement du monde, ont recueilli un bébé renard abandonné au bord de la route, l'ont nourri, soigné, élevé dans un enclos sur leur propriété. Puis la justice s'en est mêlée
car, en France, il est interdit de recueil-lir un animal sauvage, sous peine de forte amende et de peine d'emprisonnement. Le même jour, en 4e de couverture du journal l'union, une publicité pour
le Quinté + comportait cette phrase : « Jouer comporte des risques ». Tous ces événements n'ont aucun rapport, me direz-vous ? Eh bien, si ! Nous entrons lentement mais sûrement dans une société
d'interdits où l'on fait tout pour cul-pabiliser les citoyens. Il est aujourd'hui difficile d'en griller une (une cigarette) car peu sont les endroits où c'est autorisé ! Et quand enfin vous en
trouvez un (un endroit), les photos et les mentions sur le paquet vous rappellent que vous allez mourir (je ne suis pas fumeur !). Une récente campagne de publicité télévisée nous apprenait
qu'au-delà de deux verres d'alcool par jour, on mettait sa vie en danger et que si l'on était dans ce cas il fallait vite en parler à son médecin. Le soir, après la météo, une célèbre
présentatrice nous fait tous les jours un cours sur ce qui est bon pour la planète et ce qui ne l'est pas. Ainsi, en 2011, nous apprenons que l'hiver il faut
se cailler dans nos chaumières en ne chauffant pas à plus de 18 °, car c'est bon pour la pla-nète ! Il ne faut pas laisser couler l'eau du robinet pendant que l'on
se brosse les dents, car c'est mauvais pour la planète ! L'été, il faut couper les climatisations dont nos voitures sont toutes équipées, car c'est bon pour la planète ! Aujourd'hui, pour être
bon citoyen, alors que les industriels de l'agroalimentaire augmentent sans cesse le volume du packaging des produits que nous achetons, il faut trier ses déchets : poubelles bordeaux pour les
ordures ménagères, poubelles jaunes pour les bouteilles en plas-tique, les boîtes de conserve vides (non empilées, attention !) et les cartonnettes (j'ai bien dit cartonnettes car si vous mettez
des cartons, les agents préposés au ramassage ne les collec-tent pas), poubelles bleues pour les journaux (sans plastique), et dans le village où j'habite il faut faire 2 km pour aller jeter les
bouteilles en verre vides et non cassées dans le container idoine (j'ai bien dit bouteilles en verre vides et non cassées car le verre cassé c'est dans les ordures ménagères !). Pendant que les
gens qui nous imposent tout cela (en décrétant comment nous allons être heureux) voyagent en avion ou dans des berlines de luxe précédées par des motards qui leur « ouvrent » la route, pendant
que les pseudo-écologistes (tout le monde en connaît au moins deux) font leur business en hélicoptère mais voudraient nous faire tous rouler à vélo, nous, c'est-à-dire le peuple, nous
culpabilisons constamment car on nous répète à longueur de jour-née qu'il faut manger cinq fruits et légumes par jour, parce que vivre comme nous en avons envie coûte cher à la société, coûte
cher à la Sécu, et provoque le réchauffement climatique qui va nous faire tous mourir. Ben oui, fumer tue et provoque le cancer, boire du vin avec ses amis est dangereux pour la santé, manger des
croissants et des pâtisseries le dimanche donne du diabète, la charcuterie et le fromage du cholestérol. Nous n'osons plus resaler nos aliments à notre goût et mettre du sucre dans notre café.
Acheter une belle voiture après avoir économisé pendant des années fait de nous des meurtriers en puissance et des pollueurs inconscients, prendre un bain plutôt qu'une douche est criminel pour
la planète. Faire un Quinté + ou un Euromillion en rêvant de gagner le gros lot et ainsi améliorer son quotidien peut provoquer des addictions, recueillir un animal sauvage blessé et le soigner
est interdit… Bien entendu, j'entends déjà les moralisateurs des temps modernes crier au scandale en con-tredisant tous mes propos. Ils ont sûrement des arguments irréfutables scientifiques, je
n'en doute pas ! Oui, mais nous, nous voulons simplement vivre ! Vivre et non pas subsister, dans le respect des gens qui nous entourent, cela va de soi ! Et nous ne voulons pas que l'on décide
pour nous comment nous allons être heureux.
J'ai connu un mauvais citoyen. Il buvait l'apéritif tous les jours, du vin à chaque repas et un digestif tous les soirs avant de se coucher. Aux crudités, il
préférait la charcuterie artisanale, salait beaucoup trop ses aliments et ne finissait jamais un repas sans un morceau de cantal (quelle horreur, c'est un fromage très gras !). il avait fumé,
très longtemps, des cigarettes et des cigares. Ce n'était pas quelqu'un de riche, mais son plaisir était d'avoir de belles voitures françaises qu'il s'achetait avec ses économies et dans
lesquelles il nous emmenait en balade pendant les vacances, mes cousins et moi. Pendant qu'il conduisait, nous lui chantions depuis l'arrière du véhicule « plus vite, plus vite » et pour nous
faire plaisir il accélérait et dépassait très temporairement la vitesse autorisée en nous disant que si les gendarmes nous attra-paient, nous irions tous en prison, ce qui nous faisait peur. Il
se rendait parfois à des banquets et rentrait prudemment en voiture en ayant sûrement abusé de la dive bouteille. Ce mauvais citoyen, c'était mon grand-père paternel. À part ça, eh bien il s'est
battu pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale, a été prisonnier pendant quatre ans au fin fond de l'Allemagne. Il a travaillé jusqu'à sa retraite et a ensuite fait du bénévolat jusqu'à
sa mort. Il donnait ses vieux vêtements à la Croix-Rouge française et, en saison, ne passait jamais une semaine sans apporter un panier de tomates et de cerises de son jardin aux soeurs
catholiques du village. Il a toujours voté, eu un grand sens du devoir et beaucoup de respect pour nos institutions. Il chantait tous les ans à Noël à la cho-rale de la messe de minuit. Il
disait, en parlant de la vie : « Courte, mais bonne ! ». Il est mort en dormant à 74 ans, il y a vingt-trois ans. Je ne peux pas le faire parler mais je suis certain qu'il n'aurait pas aimé le
monde d'interdits dans lequel nous vivons et tous ces bien-pensants qui nous culpabilisent et nous sanctionnent en permanence. En mai 68 (j'avais 5 ans), les gens criaient « il est interdit
d'interdire ». Où sont passés ces révolutionnaires qui pendant un moment ont fait vaciller le pouvoir de l'époque ? « Il faut arrêter d'emmerder les Français », disait Pompidou. Il serait temps
de l'écouter !
lien vers l'origine de l'article: link (Thierry Bonnafous http://www.lunion.presse.fr/article/francemonde/courrier-des-lecteurs-%C2%AB-il-faut-arreter-demmerder-les-francais-%C2%BB)
Pour le blog,le résultat des recherches a été nul,nous n'avons pas trouvé la photo souhaitée,celle du Monument aux Morts de Nam Dinh ,par contre,la tenacité de Mme Geneviève Sanchez a porté ses fruits,voila son dernier commentaire.
bonjour à tous
ce message s'adresse à toutes les personnes qui ont contribué à me diriger, me fournir des adresses, renseignements etc...
Je tiens à dire que VOUS, ou VOUS, par une adresse, un message vous m'avez permis d'avancer, je ne peux donner des noms car j'ai tellement peur d'OUBLIER quelqu'un, chacun se reconnaîtra, vous
avez mon mail, gardez le contact avec moi c'est tout ce que je demande, ne nous quittons pas ! sachez que mon père et moi venons de passer trois jours intenses avec des anciens de RHIN et DANUBE,
du 6° R.I.C et 9° D.I.C., que nous avons rencontré Madame la Générale DABOVAL et tant d'autres camarades de mon père. Extraordinaire, Extraordinaire !Nous avons pleuré, nous avons ri.... j'ai
rendu papa heureux ; c'est l'essentiel, je lui dois en tant que fille, cette récompense de m'avoir inculqué le sens du devoir et du Respect de Notre Patrie, de Notre FRANCE, pour ceux qui ont
souffert et sont mort pour que nous soyons libre. Encore merci à tous. Je vais me rapprocher, et cela par écrit car il serait incorrect d'envoyer un message 'mail" à ce Monsieur, : le Colonel
Francis MASSET qui est le premier maillon de cette chaîne fantastique.
Merci. J'attends des dizaines et des dizaines de messages d'anciens d'Indo. Je sais que vous êtes encore nombreux, oui nombreux, les enfants, les petits enfants qui liront ce message, demandez à
votre grand-père de me passer un petit bonjour, je le transmettrais à mon papa, Ah, j'oubliais, mon grand espoir c'est de partir à nouveau au Viet-Nam et surtout visiter Nan-Dinh et me recueillir
sur les lieux où mon père a construit le Monument aux Morts au Cimetière de Nan-Dinh, pour ses camarades tués durant le siège de 82 jours et tous les camarades tombés en Indochine. (le Monument a
été détruit en 1975)
Encore Merci. Mon texte est un peu embrouillé, mais j'écris avec mon Coeur et sur la lancée......
Geneviève.
Bravo Geneviève pour votre perséverence.
Le message d'origine de Mme Sanchez.
Bonjour
Mme Genevieve Sanchez recherche des informations sur le passage de son père en Indochine.Encore une fois,nous ne sommes pas spécialisés en la matière et une
personne seule travaille sur ce blog,ce qui limite les possibilités de résultat.Néanmoins,comme nous l'avons fait pour Jeanine Corbellari qui recherchait des nouvelle,elle aussi de son père
disparu en Indochine,nous renouvelons l'appel aux bonnes volontés.Même si notre blog est peu important,il a suffit de l'aide apportée par deux personnes,Patrick.... et Michel Fries pour la guider
dans ses recherches qui au final lui ont donné satisfaction. Recherche d'informations sur Parachutiste disparu en Indochine.Au
résultat.
Geneviève recherche eventuellement une ou des personnes qui ont pu croiser son père,elle souhaite obtenir des témoignages,images du Monument aux Morts de Nam Dinh
érigé en 1947....
Voici ce qu'elle écrit:
... mon père s'est engagé pour la
durée de la guerre - Campagne de France et d'Allemagne -pour ceux qui y étaient , et pour mémoire, les batailles pour la libération de COLMAR, KARLSRHUE, RASTATT....... avec le Général de Lattre
de Tassigny 9° D.I.C. et 6° R.I.C. - avec le Chef de Bataillon Maurice DABOVAL promu Général. C'est tout de suite après les combats en Allemagne. Au lendemain de la Libération - 8 Mai 45, mon
père est parti en Indochine ; il était alors, en 1947 sous les ordre de Maurice DABOVAL c'est au cimetière de NAM-DINH près de la Cotonnière qu'il a érigé ce monument . Le siège de 82 jours à la
Cotonnière sans armes lourdes s'est soldé par d'importantes pertes humaines. J'ai une mauvaise photo du monument
Merci si j'arrive à avoir un résultat positif, je cherche depuis tant d'années !.
Pour info:la bataille de Nam-Dinh est racontée par Erwan Bergot dans son livre"La Coloniale" collection Presses
Pocket nr 2104-pages 233 à 239.
pour le blog: michel deloffre
Le 5 juin a eu lieu la journée plein-air avec le méchoui traditionnel au parc de la Gloriette de Distroff.
Quelques images:
ça bosse et ça fume.
comment ça s'ouvre ce machin
là,c'est mieux
et Christian(à droite) toujours présent,quelques jours avant son "grand saut"
Cet article est remis en ligne pour information complémentaire.
Didier de Trarieux-Lumière a réalisé un travail photographique de la cérémonie pour le compte de la Fondation Bigeard.Il nous a proposé d'utiliser le lien suivant,nous l'en remercions. http://d.trarieux.lumiere.free.fr/obseques_gaby_bigeard/
********************
Madame
Gabrielle Bigeard à rejoint son Général.
Un peu plus de un an après le décès du général Bigeard le 18 juin 2010,son épouse Gabrielle l' a rejoint,elle est décédée à Toul dans la nuit de lundi à mardi à
l'âge de 91 ans.
Comme l'a dit le prêtre au cours de la cérémonie religieuse,relatant leur longue histoire,<<Gaby à rejoint Bruno>>.
La cérémonie s'est déroulée en l'église Saint Gengoult de Toul.Lorsque l'on y entre,l'éclairage et les chaises installées provisoirement sans doute mis à part,on se
retrouve quelques siècles en arrière.
La collégiale Saint Gengoult a été construite en plusieurs étapes.
-au 13° siècle on été construits l'abside,le coeur et les chapelles
-au 14° siècle les deux travées de la nef et l'ornementation des fenêtres
-dans la première moitié du 16° siècle,le cloître.
Quelques images pour donner une idée,l'édifice est grand et enchassé dans les habitations environnantes.
images du cloître.
A quatorze heures,peu de monde devant l'église,mis à part quelques UNP principalement de la section de Nancy.
A quinze heure,la cérémonie a commencé après l'entrée de Madame Marie-France Bigeard,accompagnée d'amis et personnalités comme Madame Morano,Monsieur Longuet,M. le sous Préfet de Toul,le général de corps d'armée Peran.
Etaient présents:
-une délégation du 516° Régiment de Train de Toul
-une délégation de Saintd-Cyriens
-une délégation des élèves officiers de la 50° promotion de l'école militaire interarmes(EMIA) ,promotion qui sera baptisée le 23 juillet et qui portera le nom de "Promotion Général Bigeard".
-Une délégations de soldats sous-officiers et officiers du 3°RPIMa,régiment qui était commandé par le "colonel" Bigeard en Algérie.
-des membres de la Gendarmerie Nationale
-Des membres d'associations d'anciens combattants,de l'UNP et Amicales ainsi que les Porte-Drapeaux.La présence associative était modeste,bien que certaines
personnes soient venues de loin pour assister à cette cérémonie d'adieu.
Le père Roland Noël nous a raconté la vie des deux époux,"Gabrielle et Bruno",l'hymne à Saint Michel a résonné dans l'édifice,le "clairon" nous a fait entendre la
"Marseillaise",et tous sont allés bénir,à la fin de la cérémonie, le cercueil pour aller ensuite ,à l'extérieur,attendre.
les porte-drapeaux:
la fin de la cérémonie religieuse:
les membres des associations étaient principalement regroupés côté droit édifice.
La sortie de l'église,à gauche les Saint-Cyriens et EMIA,à droite le 3°RPIMa.
source l'Est Républicain: Plusieurs délégations de la région ont tenu à rendre un dernier hommage à l'épouse du général Bigeard.Parmi elles,bon nombre venues de Moselle se sont jointes à celles de Toul.Comme les porte-drapeaux de Metz,le Souvenir Français de Metz-Borny et de Montigny-les-Metz,des représentants du 13°RDP,présentes également l'Union Nationale des Parachutistes d'Epinal et de Nancy.
Comme pour la cérémonie d'adieu au Général Bigeard,aucune image n'a été prise au cours de la cérémonie religieuse.Le but de cet article ,bien modeste, est simplement de permettre à ceux qui auraient souhaité venir et qui,pour diverses raisons n'ont pu le faire,d'obtenir ces quelques informations via le net.
***********************
Eventuellement-le numéro spécial Bigeard est toujours disponibles dans certaines sections de l'Union Nationale des Parachutistes.
Article remis en ligne suite à la réception d'un texte de Eugène Legal,ancien du 11° Choc,que vous trouverez en bas de page.Ce texte montre que je me suis" mélangé les pinceaux",l'équipe de Thionville s'etant rendu d'abord au Père Lachaise.
Le 3 mai,notre section a rendu hommage,pour la première fois,à son parrain le Capitaine Erwan Bergot au cimetière du Père Lachaise à Paris.
Après que l'UNP Nationale ait demandé à ses sections de prendre le nom d'un "parrain",celle de Thionville, qui après avoir fait son choix,et que sa proposition ait été acceptée ,est devenue en 1998,sous la présidence de Philippe Weber,la "section Erwan Bergot".
Quelques images de ce parrainage offertes au blog par Philippe Weber.(le parrainage a eu lieu en même temps que l'inauguration du local de la section "Cour des Capucins "à
Thionville).
Madame Jeanine Bergot et le président Philippe Weber de chaque côté de l'image, dans le cadre, ou l'on reconnait le capitaine Bergot.
Etaient aussi présents,à gauche-MmeJosette Taddei 1er adjoint au député maire de Thionville-M.Roland Storck vice-président de l'UNP Thionville,M.Jean-Marie Demange,M.Paul Jamand maire de
Mondelange,M. Patrick Weiten maire de Yutz.
A droite-Mme Jeanine Bergot,M. Philippe Weber et les auteurs M.Michel Hérubel,M. Alain Gandy.
ainsi que le président d'honneur Jean-Claude Houlne et de nombreux anciens paras.
en passant,une image de l'inauguration du local où l'on reconnaitLucien Pallez,un de nos trois anciens d'Indochine.
3 mai 2011.
Après un départ à 6heures du matin place de la Liberté à Thionville,les anciens paras en tenue UNP accompagnées de quelques épouses se sont rendus au lieu de rendez-vous fixé avec Madame Bergot à Paris.
Ensemble ,ils ont pris le verre de l'amité.
suivi de dédicace de livres.
Pour ensuite se rendre au cimetière du Père Lachaise.
L'hommage rendu au Capitaine Erwan Bergot
Discours lu par Eugène Legal.
Les Anciens qui ont fait le déplacement.
Vous pouvez retrouver quelques images supplémentaires sur ce lien: Thionville-2011-et-2012
Le texte de Eugène Legal sur le déroulement de cette journée
Baptême de notre drapeau.
Le voyage à Paris au cimetière du Père Lachaise
Départ de Thionville a 5heures 30 du matin. Direction Nancy pour faire des économies sur le péage.
Des travaux sur la national nous a fait perdre beaucoup du temps, nous somme arrivés a 12 heures. Après avoir tourné pour trouver une place de stationnement. Nous n’avons pratiquement plus
de temps pour nous mettre à table. Notre Président décide de partir sur la tombe du Capitaine Erwan Bergot. Son épouse nous attendais près de la stèle, que nous investissons,les drapeaux de
chaque coté du tombeau les paras de chaque cotés. Quelque personnes intriguées s’arrête et regardent, ces quelques énergumène avec leur drapeaux. Après le garde avoue réglementaire, notre amis
Dulac envoie le chant Para « Loin de chez nous ». Suivi de la sonnerie au Morts, et minute de silence. Vient La Marseillaise, que nous chantons à plein poumon. Ce fut a moi
de faire le discourt, qui n'a pas été facile a écrire. Je n'ai rien trouvé sur la carrière de notre Capitaine. Je n'ai pas voulu prendre les explications donner par l’éditeur. Ancien du 11eme
choc, le silence est de rigueur. J'ai donc parlé de ce que nos anciens nous ont laissé. Bien sur nous étions tous des volontaires, choisis au trois jours. Il nous fallait accepter la dureté de
l’entraînement. Tout cela nous a servis durant les 28 mois de service, et même dans les services. Sports le matin, est parfois les marches dans les monts du Roussillon. En écrivant ce petit
courrier,je ne peut pas oublié la dissolution de notre Bataillon,est aussi notre Commandant limogé. Notre Colonel, nommé Général pour ne plus commander de troupes. Je dois
aujourd'hui remercier notre Capitaine Bergot qui nous à donné les raisons du déshonneur de ces Officiers, qui non pas voulus combattre leur frères d'armes. C'est en ce jour, pour moi de
rendre hommage, a tous les Officiers : sous Officiers : est chasseurs qui ont été dans ce Bataillon.
Après cette cérémonie sur la stèle, nous avons quitté le cimetière pour le restaurant. Après le repas pris en compagnie de Madame
Bergot . La dédicace a commencé, de nombreux livres sont ressortis du placard pour cette occasion. Pour mes deux livres « 11eme choc et La guerre des appelés en Algérie » voilà la
dédicace écrite par Madame Bergot « En souvenir d'Erwan pour Eugène son frère d'Arme Bien amicalement Madame Bergot. » Voilà ce que je peux dire sur cette journée, en
remerciant Madame Bergot pour sa présence et sa gentillesse. Cette manifestation pour moi, ancien du 11eme chocs ma particulièrement touché. Un retour plus rapide, par l’autoroute, arriver sur
Thionville ver 20 heures. Une bonne nuit nous attendais content de notre journée
Eugène Legal
Si vous ne souhaitez pas apparaître sur une de nos photos,vous pouvez demander sa suppression en utilisant le lien "contact" du blog.
Cette année,la commémoration de la fin des combats de Bien Bien Phu,le 57ème anniversaire,s'est déroulée le samedi 7 mai dans la commune de Terville,qui nous avait déjà accueillis pour la Saint Michel de l'année 2010.
Trois Anciens d'Indochine étaient présents parmi nous;
M.Michel Fries
M.Lucien Pallez
M.René Fey
origine de cette information:Michel Fries.
Etaient présentes à la cérémonie, des personnalités militaires et civiles, Monsieur le Sous-Préfet,Monsieur Patrick Luxembourger,maire de la commune,la chorale,un détachement du 40° Régiment de Transmissions de Thionville,les Sapeur-Pompiers,l'UNP Thionville ainsi que des réprésentants des sections voisines,les Associations d'Anciens combattants,les Para-Commando Belges.
La commémoration a commencé par un discours du Président de l'UNP Nationale,le Général Christian Piquemal,lu par Gilbert Triestini,Président da la section UNP de Thionville,
suivi par les dépôts de gerbes.
La chorale a chanté les hymnes nationaux français et européens.
Nous nous sommes ensuite tous retrouvés dans la salle communale,où après les discours des personnalités et remises de cadeaux traditionnels, la cérémonie s'est terminée par un pôt de l'amitié.
Ces images et quelques autres à voir sur l'album: Thionville-2011-et-2012
Sarrebourg, le 04 juillet 2011
Pour le journal le RL
Cohésion et détente pour l’Union Nationale des Parachutistes de Sarrebourg
et Environs
Pour la sixième année consécutive d’affilée, les membres de l’Union Nationale des Parachutiste section Pierre CHATEL se sont retrouvés dans les bois d'ARZVILLER dans un cadre paisible de verdure et d’eau à l’occasion de leur sortie estivale. Les plus courageux s’était donné rendez-vous vers 9 h pour une sympathique marche en forêt.
Les convives ont ensuite pu apprécier les différentes salades et grillades préparées par Francis et son équipe, ceci dans la bonne humeur et la franche camaraderie parachutiste.
Toutes les images sont de Geo Billet.
Les prochaines manifestations ont été évoquées par le Président Jean-Pierre ROUH :
Samedi 10 septembre 2011 Saint Michel régionale à Metz en présence du président national, le général PIQUEMAL.
Dimanche 18 septembre 2011 Saint Michel à ROUSSY LE VILLAGE organisé par l'UNP Thionville.
Fin septembre 2011 Saint Michel au 1er RI.
Dimanche 09 Octobre 2010 Saint Michel de la section UNP SARREBOURG et environs avec dépôt de gerbe au monument aux morts de BROUDERDORFF et repas de cohésion a la salle des fêtes.
les images sont sur l'album:: Section-de-Sarrebourg
Transmis par un ami lecteur-émis ici pour mémoire.
Monseigneur,
J’ai lu avec une grande émotion l’article paru dans « Eglise de Metz » du mois de juin, dans lequel vous relatez votre récent
séjour à Oran. Il m’intéressait d’autant plus que vous évoquez ma ville natale et un lieu qui m’est cher, l’évêché de cette ville, en fait l’ancienne
paroisse de Saint-Eugène, où j’ai été baptisée, confirmée et où j’ai fait ma communion solennelle, selon la terminologie en usage avant Vatican II. Vous
rappelez également la mémoire d’un grand prélat, Monseigneur Claverie avec lequel j’ai eu l’honneur et le privilège de m’entretenir en
1987, à la faveur d’un retour dans le pays de mes racines.
Je ne commenterai pas votre analyse irénique de la situation actuelle du Christianisme en Algérie. Je n’ai aucune compétence
particulière pour le faire. Juste une remarque : peut-on parler de « terre d’Islam » à propos de ce pays quand, vous le rappelez avec raison, l’Afrique du
Nord a été la terre d’élection du premier Christianisme occidental et a donné à l’Eglise, un de ses Pères les plus éminents, Saint Augustin ?
En revanche, permettez-moi de m’étonner de certaines de vos expressions pour décrire le
comportement de ceux que l’administration française appelait, en 1962, les « Européens » : « A la fin de la guerre d’Algérie,
alors que la majorité des chrétiens et de leurs pasteurs firent le choix de quitter le pays pour s’installer en France ».
Pour ceux qui ont vécu les événements, dont je suis, le mot « choix » relève d’une forme blessante de négationnisme à leur
égard : oublié le terrorisme dont ils ont été victimes depuis le 1er novembre 1954, ignorés les derniers mois pendant lesquels, surtout à partir du 19 mars
1962, ils furent victimes d’enlèvements jamais élucidés et d’assassinats quotidiens. Un « Mur des disparus » sur lequel sont gravés plus de trois mille noms
de ces malheureux a été inauguré à Perpignan en novembre 2007. La ville d’Oran, qui fut toujours majoritairement européenne, paya un tribut particulièrement lourd, le jour de la célébration de l’Indépendance, le 5 juillet 1962 : au minimum 700
européens furent enlevés et assassinés. Le cinéaste franco-algérien Jean-Pierre Lledo, peu suspect de sympathie à l’égard du système colonial, a pu parler «
d’épuration ethnique » à propos de cette tragédie. Faut-il s’étonner que dans les jours qui suivirent la ville se soit vidée de ses habitants, dans
une panique générale ? En juin 1940, les Français ont-ils « choisi » d’abandonner les Ardennes, la Lorraine ou l’Alsace
pour se réfugier dans l’Ouest ou dans le Sud de la France ? Depuis bientôt 49 ans, personne n’a cherché à retrouver ces victimes Pieds-Noires, raison d’Etat
oblige, car les forces algériennes, on le sait aujourd’hui, ont délibérément semé la terreur pour hâter le départ de ces Européens. Monsieur Ben
Bella, premier Président algérien, a déclaré plusieurs fois, sur les medias français, qu’il n’y avait dans l’Algérie indépendante aucune place pour les Pieds-Noirs, dans un pays qui se voulait arabo-musulman.
Opposer ces malheureux à ceux qui auraient choisi de rester en Algérie afin de contribuer
« humblement à son développement humain », revient à nier le rôle joué par tous ces médecins, ces instituteurs, venus de
Métropole ou nés en Algérie, qui se sont dévoué corps et âmes pendant 132 ans, dans les lieux les plus reculés du pays pour éduquer et soigner les
populations autochtones. Je n’oublie pas ces « Soeurs Blanches » qui tenaient, dans cette même paroisse de Saint-Eugène d’Oran, un dispensaire où
venaient quotidiennement se faire soigner femmes et enfants, comme on le voit dans le film de Beauvois. Je connais personnellement des Pieds-Noirs qui ont tenté de rester et qui ont pris la nationalité algérienne.
Le Président Boumediene, champion de l’arabisation, les a contraints à partir et les a remplacés par des étrangers des pays de l’Est parce qu’ils ne pouvaient, à aucun titre, se réclamer de la nationalité algérienne. Mais nous, dont les familles étaient présentes pour certaines depuis les années 1830, venues de tout le pourtour de la Méditerranée dont elles fuyaient la misère, imaginions naïvement avoir le droit de nous sentir chez nous. Cette terre, on ne l’a pas donnée à ces « immigrés économiques », comme nous dirions aujourd’hui ; pour 90% d’entre eux, ils ne l’ont jamais possédée mais ils l’ont travaillée, aux côtés des musulmans et ils l’ont aimée éperdument parce qu’elle leur a permis de vivre. Ces populations ont appris, plus ou moins, en vivant côte à côte, la langue des autres, arabe, français, espagnol, maltais.
L’Eglise, qui se montre si compatissante à l’égard des populations algériennes n’a pas fait un grand effort pour comprendre le
désarroi de ces Pieds-Noirs pendant les « événements ». Le Cardinal Feltin, en 1962, leur enjoignait de rester en Algérie, ignorant délibérément les dangers
auxquels ils étaient exposés. Seul Mgr Rhodain, à la tête du Secours catholique, a montré une vraie compassion. Et je n’oublie pas la haute figure de
l’épiscopat d’Algérie qu’était notre évêque, Monseigneur Lacaste, prédécesseur de Mgr Tessier et Mgr Claverie.
Nos blessures ne peuvent se cicatriser, ni notre travail de deuil se conclure si la désinformation se perpétue, si l’on
continue à stigmatiser ceux qui ont vécu sur cette terre.
Vous avez eu le privilège, Monseigneur, de pouvoir vous recueillir, à Oran sur la tombe de votre éminent ami. Pour nombre
d’entre nous, les sépultures de nos parents n’existent plus. Le cimetière chrétien d’Oran a été « réduit » des deux-tiers, les restes des défunts regroupés
dans des sortes de containers en béton dépourvus de toute indication de nom et de tout signe religieux. Monseigneur Georger, sur place, ne peut ignorer cette
situation puisqu’il a assisté lui-même à ces transferts. Dans de nombreuses communes, les tombes ont été vandalisées,
dans l’indifférence des autorités algériennes et françaises. Certains défunts, tels que les disparus du 5 juillet 1962, n’ont
jamais eu de sépulture et l’Etat français n’organise aucune cérémonie du souvenir, comme cela se fait légitimement pour les victimes du massacre
d’Oradour-sur-Glane. Comment pouvons-nous ne pas nous sentir inhumainement traités ?
Puis-je solliciter de votre part, Monseigneur, à l’attention de ces malheureux qui n’ont même pas eu le temps de « choisir »,
la charité d’une prière afin qu’ils reposent enfin en paix, où qu’ils se trouvent, et que leurs proches survivants s’apaisent et pardonnent ?
Je prie Monseigneur l’Evêque de Metz de bien vouloir agréer l’expression de mon profond respect.
Danielle Pister-Lopez
Agrégée de l’Université
Lien vers le site 26 mars 1962. link
(http://www.alger26mars1962.fr/alger/index.php?option=com_content&view=article&id=104:a-propos-de-la-valise-ou-le-cercueil&catid=106:apres-le-19-mars--le-26-mars-le-5-juillet&Itemid=152)